light gazing, ışığa bakmak

Sunday, April 27, 2008

aliviando: a fronteira invisível

"Si si, j'utilise toujours de l'eau. Mais il est difficile de revenir sur de l'aquarelle. Or, j'ai besoin de faire des couches et des couches, je n'arrive jamais à terminer mes planches, je reviens toujours dessus. J'ai le sentiment que ce que je fais la première fois n'est pas terrible. Je mets presque trois jours par planche, rien que pour la mise en couleur. Certains diront : quoi, il a passé trois jours là-dessus ? Ça ne se voit pas ! Mais je sais que j'ai besoin de ça, peut-être à cause des doutes que j'ai quand je travaille. De toute façon, c'est tout ce que j'espère, que le travail ne se laisse pas voir." (Schuitten, aqui) De vez em quando comprar um livro é um acontecimento.








No Centro de Cartografia de Sodrovno-Voldachie, Roland de Cremer e o seu cão. O link dos links.

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