light gazing, ışığa bakmak

Tuesday, January 1, 2008

La fin. E o regresso.

Entre a Margarida, muito pink, e o mestre. Tempo de amar, tempo de morrer.
Causa e efeito. A matilha. Back on track.


"Elle paya, elle emporta les deux paniers dans le pavillon aux fruits qu'on venait d'ouvrir. Les Halles gardaient leur légèreté noire, avec les milles raies de flamme des persiennes; sous les grandes rues couvertes, du monde passait, tandis que les pavillons, au loin, restaient déserts, au milieu du grouillement grandissant de leurs trottoirs. A la pointe Saint-Eustache, les boulangers et les marchands de vin ôtaient leurs volets; les boutiques rouges, avecs leur becs de gaz allumés, trouaient les ténèbres, le long des maisons grises. Florent regardait une boulangerie, rue Montorgueil, à gauche, toute pleine et toute dorée dela dernière cuisson, et il croyait sentir la bonne odeur du pain chaud. Il était quatre heures et demie."

Zola, "Le Ventre de Paris" summarizing in half a dozen lines the whys of living.

Ao Rui, à Marta, ao António, ao Rodrigo e ao Jorge.

4 comments:

Anonymous said...

...

E a ti.

Tozzola said...

Vous m'offrez la cité, je préfère les bois ;
Car je trouve, voyant les hommes que vous êtes,
Plus de cœur aux rochers, moins de bêtise aux bêtes. - Victor Hugo, L'année terrible.

Cheio de nuvens, mas quieto, vou á beira-mar ver as estrelas escondidas.

Ana V. said...

Bom... fiquei sem argumento! :-))

Anonymous said...

Les Artistes sont ceux qui passent leur vie à relier les morceaux détachés du monde.

O anónimo do costume ;-)

 
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